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Dépistage du cancer de la prostate, choisir de faire ou de ne pas faire le test de dépistage (Nouveau!)

Dépistage du cancer de la prostate

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  • Faire le dépistage en moyenne 2 fois sur une période de 13 ans
    En savoir plus
    sur l'option
  • Faire le dépistage en moyenne 2 fois sur une période de 13 ans

    Avantages du dépistage
    Survie

    Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 1 décès dû au cancer de la prostate est évité grâce au dépistage (0.1%).

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Le décès est évité pour...

      99,5% des hommes

      99,6% des hommes

      0,1% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais. 

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Être rassuré

    Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 760 ont un résultat de dépistage négatif. Ces hommes sont initialement rassurés.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Le sentiment d'être rassuré est ressenti par...

      76% des hommes

      0% des hommes

      76% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Sévérité du cancer lors du diagnostic

    Pour chaque 1000 hommes dépistés, environ 100 ont un diagnostic de cancer de la prostate. Le cancer est en moyenne moins sévère chez ces hommes comparativement aux hommes n’ayant pas fait de dépistage.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Recevoir des traitement précocément est possible pour...

      10% des hommes

      0% des hommes

      10% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et al. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: Randomized multi-center trial; Participants: 162,243 men between the ages of 55 and 69 from 7 countries in Europe; Intervention: PSA screening, on average twice over a 13-year period (PSA cut-off level: 3-4 ng/mL).

    Inconvénients du dépistage
    Rassuré à tort

    Parmi les 760 hommes qui ont un dépistage négatif, environ 27 ont tout de même un cancer de la prostate. Ces hommes auront été faussement rassurés.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Le sentiment d'être faussement rassuré est ressenti par...

      27% des 1 000 hommes qui font le dépistage

      0% des 1,000 qui ne font pas le dépistage

      27% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans  (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Fausse alerte

    Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 240 nécessitent un test supplémentaire pour confirmer la présence d'un cancer de la prostate. Parmi ceux-ci, environ 140 auront été faussement alertés, car ils n'ont pas de cancer. Ces personnes auront ressenti de l'anxiété inutilement.

    Parmi les 140 hommes faussement alertés, environ 120 subissent une biopsie inutile, pour vérifier le diagnostic. Sur ces 120 personnes:

    • environ 2 sont hospitalisées;
    • environ 28 ont une complication de modérée à grave (douleur, fièvre, difficultés urinaires passagères)."
    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      La fausse alerte est vécue par...

      14% des hommes

      0% des hommes

      14% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans  (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Surdiagnostic et surtraitement

    Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 100 ont un diagnostic du cancer de la prostate confirmé à la suite d'un dépistage et la majorité est traitée.

    Sur ces 100 hommes dont le diagnostic est confirmé, environ 40 n'auraient jamais su qu'ils avaient un cancer s'ils n'avaient pas été dépistés. Le surdiagnostic est le fait de découvrir un cancer qui aurait jamais été détecté sans le dépistage. Ce cancer n'aurait jamais eu de conséquence sur la santé ou sur la vie de la personne. S'ils décidaient d'être traités, ces 40 hommes pourraient subir les effets néfastes de traitements inutiles tels que l'impuissance et les pertes d'urine incommodantes.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Le surdiagnostic est vécu par....

      4% des hommes dépistés

      0% des hommes non-dépistés

      4% des hommes

      Avec Sans Impact
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Fermer cette option
  • Ne pas faire le dépistage
    En savoir plus
    sur l'option
  • Ne pas faire le dépistage

    Avantages de ne pas faire le dépistage
    Tests inutiles

    Sur 1000 hommes ayant choisi de ne pas faire le dépistage, 932 n’auront pas de cancer de la prostate. Ces hommes n’auront pas fait de test de dépistage inutile, ni de biopsie pour vérifier s’ils avaient vraiment le cancer.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans  (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Anxiété

    Les hommes évitent l'anxiété causée par l'attente des résultats du dépistage et le stress de l'attente des résultats de biopsies.

    Surdiagnostic

    Sur 1 000 hommes ayant choisi de ne pas faire le dépistage, environ 40 évitent un surdiagnostic et éviteront les traitements et leurs complications.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Inconvénient de ne pas faire le dépistage
    Mortalité

    Sur 1 000 hommes qui ont choisi de ne pas faire le dépistage, 6 décèdent du cancer de la prostate. Parmi ces 6 hommes, 1 aurait pu éviter de mourir du cancer de la prostate s'il avait décidé de faire le dépistage et d'avoir les traitements.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

    Sévérité du cancer lors du diagnostic

    Pour chaque 1000 hommes qui ont choisi de ne pas faire le dépistage, 68 ont diagnostic de cancer après l'apparition des symptômes. Le cancer est en moyenne plus sévère chez ces hommes comparativement aux hommes ayant fait le dépistage.

    • En savoir plus sur les études
      Description des études
      Niveau de confiance en ces résultats: Modéré

      De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.

      Cette étude présente un risque élevé de biais.

      Études et références

      Schröder et coll. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.

      Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).

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Version 3.0

Date de publication : Août 2018 - Date de la recherche bibliographique : Janvier 2018 - Prochaine mise à jour : Août 2019